28.3.06
11 km et histoires sportives
Au programme hier le 28 mars, 12km. Mais je me trompe et n'en cours qu'onze, je suis un gars d'même...
Mais ce furent onze kilomères très agréables. D'abord une première boucle de 6 km en couple avec mon aérobique épouse. Il fait beau, on parle entre deux foulées, vraiment ce chômage forcé a des avantages. Ma douce moitiée s'arrête après 6 km; déjà pas mal pour une fille qui vient de reprendre l'entraînement (c'est une frileuse alors l'entraînement hivernal, non merci). Je continue mon chemin...
Je vois un coureur venir à ma rencontre. Les coureurs, c'est comme les motards, les conducteurs de Jeep et les chauffeurs d'autobus: quand on se croise, on se salue. Nous sommes tous frères. Ce coureur arrive vers moi le regard caché par une casquette blanche. C'est doublement mon frère: c'est un coureur costaud. Il a un bon rythme pour un type aussi costaud. À son approche je pense reconnaître l'ami d'un ami, mais non, il lève la tête et m'offre le salut du coureur avec un sourire sympa. Maismaismais? Mais oui! Je n'ai pas la berlue! C'est une idole de jeunesse mes amis, un fierté régionale sur pattes, gagnant de trois Coupes Stanley, l'ancien numéro 6 du Canadien, Monsieur Pierre Mondou. J'ai répondu à son salut, le coeur léger et j'ai accéléré un brin.
Je pense d'ailleurs avoir une photo dans mes boîtes de souvenirs où Monsieur Mondou me passe une médaille d'or autour du cou alors que j'avais 14 ou 15 ans. Une médaille gagnée... en course à pied! À l'époque il y avait un tournoi de golf parrainé par le joueur du Canadien ainsi qu'un 5 km pour rammasser des fonds pour une cause quelconque. J'avais gagné dans ma catégorie d'âge et il me semble avoir encore la photo de ce moment historique. Je cherche et si je la trouve je vous scanne ça sur le blog. Full nostalgie.
Mais ce furent onze kilomères très agréables. D'abord une première boucle de 6 km en couple avec mon aérobique épouse. Il fait beau, on parle entre deux foulées, vraiment ce chômage forcé a des avantages. Ma douce moitiée s'arrête après 6 km; déjà pas mal pour une fille qui vient de reprendre l'entraînement (c'est une frileuse alors l'entraînement hivernal, non merci). Je continue mon chemin...
Je vois un coureur venir à ma rencontre. Les coureurs, c'est comme les motards, les conducteurs de Jeep et les chauffeurs d'autobus: quand on se croise, on se salue. Nous sommes tous frères. Ce coureur arrive vers moi le regard caché par une casquette blanche. C'est doublement mon frère: c'est un coureur costaud. Il a un bon rythme pour un type aussi costaud. À son approche je pense reconnaître l'ami d'un ami, mais non, il lève la tête et m'offre le salut du coureur avec un sourire sympa. Maismaismais? Mais oui! Je n'ai pas la berlue! C'est une idole de jeunesse mes amis, un fierté régionale sur pattes, gagnant de trois Coupes Stanley, l'ancien numéro 6 du Canadien, Monsieur Pierre Mondou. J'ai répondu à son salut, le coeur léger et j'ai accéléré un brin.
Je pense d'ailleurs avoir une photo dans mes boîtes de souvenirs où Monsieur Mondou me passe une médaille d'or autour du cou alors que j'avais 14 ou 15 ans. Une médaille gagnée... en course à pied! À l'époque il y avait un tournoi de golf parrainé par le joueur du Canadien ainsi qu'un 5 km pour rammasser des fonds pour une cause quelconque. J'avais gagné dans ma catégorie d'âge et il me semble avoir encore la photo de ce moment historique. Je cherche et si je la trouve je vous scanne ça sur le blog. Full nostalgie.
dimanche: ouch!
Dimanche le 26 mars.
Prévu au programme 14 km. Dans les faits 4km au compteur...
***********************
Ouch. Pas récupéré de mon beau 10 km de la veille, j'apprend une très mauvaise nouvelles qui frappe quelqu'un très près de moi. Je suis très fatigué physiquement et moralement, tellement que je songe sauter mon entraînement! Finalement je sors, mais les jambes et l'âme sont à plat. Bon allez, on rentre à la maison et on se repose.
Prévu au programme 14 km. Dans les faits 4km au compteur...
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Ouch. Pas récupéré de mon beau 10 km de la veille, j'apprend une très mauvaise nouvelles qui frappe quelqu'un très près de moi. Je suis très fatigué physiquement et moralement, tellement que je songe sauter mon entraînement! Finalement je sors, mais les jambes et l'âme sont à plat. Bon allez, on rentre à la maison et on se repose.
10 K sous une heure
samedi le 25 mars
10 km au programme.
1k 6.42
2k 5.59
3k 5.52
4k 5.58
5k 5.54 ---> 30.25
6k 4.48
7k 5.55
8k 5.52
9k 5.51
10k 6.00 ---> 59.51
*************************
Parti en prévoyant y aller très mollo, la température printanière et des jambes qui répondent sans échauffement me font changer d'idée: poussons un peu pour voir. Et puis voilà, 10 km sous une heure sans trop d'effort. Super bon feeling.
10 km au programme.
1k 6.42
2k 5.59
3k 5.52
4k 5.58
5k 5.54 ---> 30.25
6k 4.48
7k 5.55
8k 5.52
9k 5.51
10k 6.00 ---> 59.51
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Parti en prévoyant y aller très mollo, la température printanière et des jambes qui répondent sans échauffement me font changer d'idée: poussons un peu pour voir. Et puis voilà, 10 km sous une heure sans trop d'effort. Super bon feeling.
24.3.06
C'est le printemps...
Hier, 23 mars, 5km. Soleil, chaleur et beau petit jog en couple. On a pris ça mollo et quand même fini avec un dernier km en moins de 6 minutes. C'est pas mal quand on pense que ma douce moitiée vient juste de se remettre à l'entraînementé
22.3.06
11km
21 mars
11 km
autour de 6.30 au km
Beau soleil et odeurs de printemps québécois.
On prend ça mollo. Pour mon grand bonheur, ma tendre épouse s'est remis à l'entraînement et elle a fait une couple de km avec moi. C'est chouette courir en couple.
11 km
autour de 6.30 au km
Beau soleil et odeurs de printemps québécois.
On prend ça mollo. Pour mon grand bonheur, ma tendre épouse s'est remis à l'entraînement et elle a fait une couple de km avec moi. C'est chouette courir en couple.
slow and easy
Alors donc 51 km la semaine dernière. Pas mal hein? Si la semaine précédente c'était la pluie Irlandaise, ma semaine 12 a été sous les Quarantièmes rugissants; j'ai failli m'envoler une couple de fois!
Mais j'ai tout couru, plus lentement que les semaines précédentes, je me concentre sur mes distances et j'accumule les kilomètres. J'ai couru jeudi, vendredi et samedi 39 Km en 3 jours, puis dimanche ski en famille à Bromont. Elle est pas belle la vie!
Mais j'ai tout couru, plus lentement que les semaines précédentes, je me concentre sur mes distances et j'accumule les kilomètres. J'ai couru jeudi, vendredi et samedi 39 Km en 3 jours, puis dimanche ski en famille à Bromont. Elle est pas belle la vie!
16.3.06
Week 12
Pas facile...
Pas facile de tenir ce blog! Je suis incapable de ne mettre que des petits billets courts et concis. Je dois y travailler; commençons maintenant:
La semaine dernière j'ai soufflé le chaud et le froid. J'avais une grosse semaine et je l'ai abordé tout croche en me trompant dans mes journées:
Horaire prévu:
Lundi: repos
Mardi: 2 x 4 km (6 min au km)
Mercredi: 2 X 7 km le premier 7 en 43 min et le 2e en 42 min
Jeudi: PPG
Vendredi: 12 km en 6 min au km
Samedi: Repos
Dimanche: Test: 10 km
Total: 44 km
Mais je me suis gourré! J'ai pris mercredi en repos, ce qui me forçait à coller deux journées intenses. Jeudi donc 2 X 7 Km. Mon premier en 43.20. Je me sens bien, mais je casse complètement dans le second! Je dois marcher à plusieurs reprises et je suis tout penaud. Et la température!!! Vous avez déjà assister à des funérailles à Dublin en novembre? Moi non plus, mais j'ai de l'imagination et du sang irlandais alors vous pouvez me croire. Gris, neige mouillée, vent... BLAH! Retour à la maison les jambes (et le moral) suintant l'acide lactique.
Vendredi même température. 12 km? Ouais, bien je pars pour une boucle de 6km que je compte faire 2 fois... erreur, au passage devant la maison après 6, je jette l'éponge. Mes jambes n'ont pas récupéré, et mon cerveau reptilien l'emporte sur ma volonté. KO.
Tellement KO que samedi je peine à marcher. Nous pensons aller en ski dimanche alors je prévois un petit week-end sans kilométrage. Mais, la pluie reprend en ce dimanche, alors pas de ski. Puis vers midi, mon coach me tétéphone. Je partage mes malheurs (elle aussi a trouvé la semaine difficile) et je cause un peu. En raccrochant ma motivation est de retour! Mais il pleut des cordes!!! Et je suis fatigué... après un diner léger, je tombe dans mon lit pour une courte sieste de 15 minutes. À mon réveil: fini la pluie! Vite, les souliers, et on part pour un test de 10km.
Test, ça veut dire: pousse comme en course. Vu ma semaine, je ne mattend pas à des miracles. Comme mes jambes sont encore lourdes, que j'ai bien compris que je dois m'échauffer au mojns 25 minutes avant de pouvoir pousser et que de toute façon mon kilométrage a souffert de ma capitulation de vendredi, je décide de faire 4 km d'échauffement avant mon 10km. C'est super de jogger lentement et de sentir la machine se mettre en marche tout doucement. J'enchaîne ensuite avec un 10km rapide. Pour être honnête je n'ai sans doute pas poussé comme en course, mais j'ai quand même fait 1h05, soit 6.30 min/km. Après la semaine que j'ai eu, c'est assez pour retrouver le sourire.
Mais je ne suis toujours pas capable d'écrire des petites notes brèves et concises.
La semaine dernière j'ai soufflé le chaud et le froid. J'avais une grosse semaine et je l'ai abordé tout croche en me trompant dans mes journées:
Horaire prévu:
Lundi: repos
Mardi: 2 x 4 km (6 min au km)
Mercredi: 2 X 7 km le premier 7 en 43 min et le 2e en 42 min
Jeudi: PPG
Vendredi: 12 km en 6 min au km
Samedi: Repos
Dimanche: Test: 10 km
Total: 44 km
Mais je me suis gourré! J'ai pris mercredi en repos, ce qui me forçait à coller deux journées intenses. Jeudi donc 2 X 7 Km. Mon premier en 43.20. Je me sens bien, mais je casse complètement dans le second! Je dois marcher à plusieurs reprises et je suis tout penaud. Et la température!!! Vous avez déjà assister à des funérailles à Dublin en novembre? Moi non plus, mais j'ai de l'imagination et du sang irlandais alors vous pouvez me croire. Gris, neige mouillée, vent... BLAH! Retour à la maison les jambes (et le moral) suintant l'acide lactique.
Vendredi même température. 12 km? Ouais, bien je pars pour une boucle de 6km que je compte faire 2 fois... erreur, au passage devant la maison après 6, je jette l'éponge. Mes jambes n'ont pas récupéré, et mon cerveau reptilien l'emporte sur ma volonté. KO.
Tellement KO que samedi je peine à marcher. Nous pensons aller en ski dimanche alors je prévois un petit week-end sans kilométrage. Mais, la pluie reprend en ce dimanche, alors pas de ski. Puis vers midi, mon coach me tétéphone. Je partage mes malheurs (elle aussi a trouvé la semaine difficile) et je cause un peu. En raccrochant ma motivation est de retour! Mais il pleut des cordes!!! Et je suis fatigué... après un diner léger, je tombe dans mon lit pour une courte sieste de 15 minutes. À mon réveil: fini la pluie! Vite, les souliers, et on part pour un test de 10km.
Test, ça veut dire: pousse comme en course. Vu ma semaine, je ne mattend pas à des miracles. Comme mes jambes sont encore lourdes, que j'ai bien compris que je dois m'échauffer au mojns 25 minutes avant de pouvoir pousser et que de toute façon mon kilométrage a souffert de ma capitulation de vendredi, je décide de faire 4 km d'échauffement avant mon 10km. C'est super de jogger lentement et de sentir la machine se mettre en marche tout doucement. J'enchaîne ensuite avec un 10km rapide. Pour être honnête je n'ai sans doute pas poussé comme en course, mais j'ai quand même fait 1h05, soit 6.30 min/km. Après la semaine que j'ai eu, c'est assez pour retrouver le sourire.
Mais je ne suis toujours pas capable d'écrire des petites notes brèves et concises.
9.3.06
Toujours présent!
Absent de mon blog, mais présent sur les routes, mes dernières semaines ont été riches en rebondissements. D'abord, que les sceptiques soient confondus: je n'ai pas abandonné mon utopie personnelle. Je cours toujours. Mais j'ai failli sombrer...
Il y a 2 semaines j'étais tout content, mon coach me demandait de courir avec des intervalles de temps précis: au programme pour ce jeudi 23 février: 2 X 4 km en 24:30 et 24:00. Je commence et dès le début je sens que la mécanique ne suit pas; il fait très froid et il vente très fort. Ma hanche droite qui me fait souffrir depuis quelques semaines n'arrive pas à se réchauffer, et après 2 km de misère je dois me rendre à l'évidence: je suis blessé et je boite plus que je ne coure... je dois rebrousser chemin!
Rebrousseur de chemin, moi!? Je me sentais comme un hockeyeur canadien, ou un chef du PQ, bref, je me sentais loser. Même mon pauvre Julius, mon gros chien qui m'accompagne dans mes courses était débinné, et avait lit-té-ra-le-ment la queue entre les pattes. Nous étions tristes à voir...
J'ai combattu ma déprime et je me suis rendu à l'évidence: je devais reposer ma hanche si je voulais me rendre au demi-marathon autrement qu'en boitant. Heureusement, ce samedi suivant alors que je devais courir 9 km, je recevais des amis à la maison, donc mon impulsion d'aller courir m'est passé. Puis ce dimanche où je devais connaître les joies d'un 10 km nous avions un carnaval familial où j'ai testé avec succès ma hanche en jouant au hockey pendant trois heures sur la patinoire extérieur de mon frangin.
Retour sur la route donc la semaine dernière, lentement mais sûrement. 8 km le mardi, 10 km le jeudi. Et dans ce 10 km, une fois bien réchauffé, aucune douleur à la hanche, alors je pousse un peu et je fais mon km 8 en 6:05, mon km 9 en 5:55 et mon dixième km en 5:45. Pas mal, pour un vieux boiteux, rebrousseur de chemin à ses heures!
Puis ce week-end passé,de belles longues sorties dans des sentiers de toute beauté. J'étais en visite dans la belle-famille à Sherbrooke. Lors de ces visites nous sommes hébergés à quelques pas d'un super beau sentier qui longe la rivière Magog. Samedi et dimanche j'avais 10 et 12 km à courir. Coup de fil à mon coach qui demeure à Mascouche mais dont les parents demeurent à Sherbrooke dans le quartier où je me trouve. Pour les curieux ce n'est pas un hasard, mon coach c'est ma cousine, et sa soeur, mon autre cousine donc, m'a présenté à ma douce moitiée il y a de cela bien des années... Bref, coup de fil à cousine coach pour lui demander des trajet de 10 et 12 km. Facile, ces sentiers serpentent à travers la ville de Sherbrooke en suivant les rives des rivières.
Samedi 10km en 1h08. Je suis agréablement surpris de mon temps car j'ai couru dans la neige et comme je n'étais pas sur les routes, il y en avait parfois beaucoup. Surtout, qu'il y avait eu une petite tempête la veille.
Puis dimanche, 13.5 km de pur bonheur. Encore beaucoup de neige, mais j'avais le coeur léger. Au final, j'ai fait cette distance en 1h27. En passant, c'est mon record personnel: je n'avais jamais couru plus de 10km. Ce qui donne 6:27min/km, dans la neige; je n'en demandais pas tant.
Si vous passez par l'Estrie je vous suggère d'apporter vos soulier de courses et de visiter le site www.charmes.org pour planifier une belle sortie. On se reparle bientôt.
Il y a 2 semaines j'étais tout content, mon coach me demandait de courir avec des intervalles de temps précis: au programme pour ce jeudi 23 février: 2 X 4 km en 24:30 et 24:00. Je commence et dès le début je sens que la mécanique ne suit pas; il fait très froid et il vente très fort. Ma hanche droite qui me fait souffrir depuis quelques semaines n'arrive pas à se réchauffer, et après 2 km de misère je dois me rendre à l'évidence: je suis blessé et je boite plus que je ne coure... je dois rebrousser chemin!
Rebrousseur de chemin, moi!? Je me sentais comme un hockeyeur canadien, ou un chef du PQ, bref, je me sentais loser. Même mon pauvre Julius, mon gros chien qui m'accompagne dans mes courses était débinné, et avait lit-té-ra-le-ment la queue entre les pattes. Nous étions tristes à voir...
J'ai combattu ma déprime et je me suis rendu à l'évidence: je devais reposer ma hanche si je voulais me rendre au demi-marathon autrement qu'en boitant. Heureusement, ce samedi suivant alors que je devais courir 9 km, je recevais des amis à la maison, donc mon impulsion d'aller courir m'est passé. Puis ce dimanche où je devais connaître les joies d'un 10 km nous avions un carnaval familial où j'ai testé avec succès ma hanche en jouant au hockey pendant trois heures sur la patinoire extérieur de mon frangin.
Retour sur la route donc la semaine dernière, lentement mais sûrement. 8 km le mardi, 10 km le jeudi. Et dans ce 10 km, une fois bien réchauffé, aucune douleur à la hanche, alors je pousse un peu et je fais mon km 8 en 6:05, mon km 9 en 5:55 et mon dixième km en 5:45. Pas mal, pour un vieux boiteux, rebrousseur de chemin à ses heures!
Puis ce week-end passé,de belles longues sorties dans des sentiers de toute beauté. J'étais en visite dans la belle-famille à Sherbrooke. Lors de ces visites nous sommes hébergés à quelques pas d'un super beau sentier qui longe la rivière Magog. Samedi et dimanche j'avais 10 et 12 km à courir. Coup de fil à mon coach qui demeure à Mascouche mais dont les parents demeurent à Sherbrooke dans le quartier où je me trouve. Pour les curieux ce n'est pas un hasard, mon coach c'est ma cousine, et sa soeur, mon autre cousine donc, m'a présenté à ma douce moitiée il y a de cela bien des années... Bref, coup de fil à cousine coach pour lui demander des trajet de 10 et 12 km. Facile, ces sentiers serpentent à travers la ville de Sherbrooke en suivant les rives des rivières.
Samedi 10km en 1h08. Je suis agréablement surpris de mon temps car j'ai couru dans la neige et comme je n'étais pas sur les routes, il y en avait parfois beaucoup. Surtout, qu'il y avait eu une petite tempête la veille.
Puis dimanche, 13.5 km de pur bonheur. Encore beaucoup de neige, mais j'avais le coeur léger. Au final, j'ai fait cette distance en 1h27. En passant, c'est mon record personnel: je n'avais jamais couru plus de 10km. Ce qui donne 6:27min/km, dans la neige; je n'en demandais pas tant.
Si vous passez par l'Estrie je vous suggère d'apporter vos soulier de courses et de visiter le site www.charmes.org pour planifier une belle sortie. On se reparle bientôt.