29.5.06
Rugby Blues
Eh bien, la route est longue mes amis, pour atteindre le fil d'arrivée d'un marathon. En principe, c'est bien de remplacer la course du samedi par un match de rugby. On court beaucoup pendant un match, et on pousse des sprints, et on travaille le haut du corps, c'est du cross-training extrême, mais on est jeune (ouin...), on est capable. En pratique, le dimanche on doit se taper la plus longue sortie de la semaine, et ce dimanche j'ai repris l'expression que sortait mon ami Payam quand un bug nous forçait à allonger notre journée de travail: "Il y une couille dans le pâté!"
Ouille! Certains matches laissent plus de séquelles sur mes vieilles jambes. Ce fut le cas ce week-end. J'ai mal dormi à cause d'une douleur au genou, et la levée du corps fut très pénible. Douleurs partout, comment faire pour aller courir?
Puis, la journée passe. Les muscles s'échauffent et lentement je reprend le dessus. Finalement en fin de journée, j'enfile les souliers de course pour une sortie avec mon épouse. Elle est aussi fatiguée et elle dicte le rythme; lent, doux et très agréable. Le soleil se couche au même rythme et on passe un beau moment. Après 45 min elle arrête et je pousse un dernier 15 minutes à plus vive allure. Oh! Rien de très rapide, un dernier km en 5h45, mais assez pour me rassurer sur mon plan de match: il sera possible de courir les lendemains de rugby. Pas trop tôt le dimanche, et pas trop vite, mais on y arrivera. Comme Payam et moi trouvions toujours le bug d'ailleurs...
Ouille! Certains matches laissent plus de séquelles sur mes vieilles jambes. Ce fut le cas ce week-end. J'ai mal dormi à cause d'une douleur au genou, et la levée du corps fut très pénible. Douleurs partout, comment faire pour aller courir?
Puis, la journée passe. Les muscles s'échauffent et lentement je reprend le dessus. Finalement en fin de journée, j'enfile les souliers de course pour une sortie avec mon épouse. Elle est aussi fatiguée et elle dicte le rythme; lent, doux et très agréable. Le soleil se couche au même rythme et on passe un beau moment. Après 45 min elle arrête et je pousse un dernier 15 minutes à plus vive allure. Oh! Rien de très rapide, un dernier km en 5h45, mais assez pour me rassurer sur mon plan de match: il sera possible de courir les lendemains de rugby. Pas trop tôt le dimanche, et pas trop vite, mais on y arrivera. Comme Payam et moi trouvions toujours le bug d'ailleurs...